Voici Michelle Tice, notre nouvelle directrice exécutive
Nous sommes heureux d’accueillir parmi nous Mme Michelle Tice, la nouvelle directrice exécutive d’Arthrite-recherche Canada. Mme Tice arrive avec des dizaines d’années d’expérience dans les secteurs public, corporatif et à but non lucratif.
Mme Tice a vu sa mère lutter contre l’arthrite, et elle comprend que nous ayons vraiment besoin de plus de recherche pour améliorer les traitements et la qualité de vie des personnes atteintes de maladies rhumatismales.
Mme Tice s’est jointe à notre équipe en novembre de cette année. Nous nous sommes entretenus avec elle pour en savoir plus sur son parcours et sur son désir de contribuer à la recherche sur l’arthrite.
Vous travaillez depuis plus de 30 ans dans le secteur des entreprises et des organismes à but non lucratif. Pouvez-vous nous donner quelques détails sur votre parcours?
Mes antécédents sont très diversifiés et ils m’ont permis de comprendre tout ce qui touche à la gestion d’entreprise. J’ai travaillé dans les secteurs public, corporatif et à but non lucratif dans diverses fonctions de gestion et de direction. J’ai également été propriétaire unique d’une entreprise. J’adore voyager et j’ai eu la chance de pouvoir vivre, travailler et étudier dans de nombreux pays, notamment au Danemark, en Allemagne, en France, au Belarus, en Ukraine et aux États-Unis, et dans plusieurs régions du Canada.
J’ai passé 15 ans chez Intrawest Corporation, où j’ai occupé plusieurs fonctions, notamment dans les domaines de la finance, de la planification stratégique et de la gestion des revenus. Après avoir quitté Intrawest, j’ai été consultante indépendante en marketing et en communication, avant de m’aventurer dans le secteur à but non lucratif. Mes premières responsabilités dans ce secteur ont consisté à chapeauter les communications de la West Point Grey Academy, une école indépendante à Vancouver, et à travailler sur la toute première campagne de financement de l’établissement. J’ai ensuite travaillé pour Family Services of the North Shore, où je me suis occupée des campagnes de levée de fonds et des stratégies de communication et de relations avec les gouvernements.
J’ai ensuite été embauchée par viaSport BC, l’organisme provincial créé après les Jeux de 2010 pour régir le sport amateur dans la province. J’y ai dirigé l’équipe de communication et d’engagement. J’ai travaillé en étroite collaboration avec plusieurs responsables du ministère du Tourisme, des Arts, de la Culture et des Sports de la Colombie-Britannique, en particulier sur les dossiers de la sensibilisation du public à des programmes sportifs sûrs et inclusifs, et de la gouvernance sportive à l’échelle de la province. J’ai ensuite travaillé chez Maple Bear Global Schools en tant que vice-présidente du marketing et des communications dans le secteur de l’éducation internationale. Je me suis surtout intéressée au renforcement des liens avec nos partenaires internationaux et à la compréhension des opportunités culturelles uniques que nous avions dans chacun des 40 pays où nous opérions.
Il y a un peu plus d’un an, la BC Cancer Foundation m’a donné l’occasion de réintégrer le secteur à but non lucratif. J’aime participer à de grandes causes, et je suis très fière de l’incroyable communauté scientifique au Canada qui mène des recherches de pointe sur de nombreuses maladies.
Qu’est-ce qui vous intéresse dans la recherche sur l’arthrite?
Je me réjouis de pouvoir contribuer à la vision stratégique d’Arthrite-recherche Canada et de diriger un organisme dont la mission est d’améliorer la vie des personnes touchées par l’arthrite, une maladie contre laquelle ma mère a lutté pendant de nombreuses années.
Vos expériences passées vous seront-elles utiles chez Arthrite-recherche Canada?
Mes compétences en finance, en marketing, en communication, en planification stratégique et en campagne de levée de fonds acquises au sein de plusieurs organismes à but non lucratif m’aideront à mieux comprendre les complexités de mon nouveau rôle chez Arthrite-recherche Canada.
J’aime forger des relations et je suis enthousiaste à l’idée de travailler avec les équipes d’Arthrite-recherche Canada qui effectuent partout au pays des recherches visant à prévenir l’arthrite, à faciliter un diagnostic précoce, à trouver de nouveaux traitements et à améliorer la qualité de vie des personnes atteintes d’arthrite.
Pourquoi vouliez-vous travailler chez Arthrite-recherche Canada?
Arthrite-recherche Canada est un organisme à but non lucratif d’envergure nationale. C’est le plus grand centre de recherche clinique sur l’arthrite en Amérique du Nord. C’est un honneur de travailler avec l’équipe qui dirige des travaux si importants.
Qu’est ce qui vous enthousiasme le plus dans vos nouvelles fonctions?
J’ai hâte de rencontrer les membres de toutes les équipes au Canada pour comprendre où Arthrite-recherche Canada excelle et explorer de nouvelles possibilités de recherche.
Qu’est-ce qui vous intéresse le plus dans la recherche sur l’arthrite?
La recherche scientifique au Canada vit une période véritablement passionnante. J’ai pu constater de visu l’ampleur des percées réalisées dans la recherche sur le diabète de type 1, une maladie qui touche un de mes fils depuis qu’il a deux ans. J’ai également été incroyablement impressionnée par la recherche sur le cancer de renommée mondiale qui est menée ici, dans le cadre de mes fonctions les plus récentes au sein de la BC Cancer Foundation.
Aujourd’hui, je souhaite en apprendre davantage sur la façon dont la recherche sur l’arthrite améliore la vie des gens. L’arthrite touche environ six millions de Canadiennes et de Canadiens, ce qui en fait une des maladies de longue durée les plus répandues au pays.
Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur vous?
J’aime voyager, découvrir d’autres cultures et être exposée à d’autres langues. C’est pourquoi j’ai vécu, étudié et travaillé dans sept pays différents et dans plusieurs régions du Canada.
Je suis également une mère célibataire. J’ai des jumeaux qui viennent de commencer leurs études universitaires. Je m’estime très chanceuse de partager leur vie.